Les conséquences en termes de préjudice

Légalement, les postes de préjudices sont classés par la Nomenclature Dintilhac, établie par un groupe de travail au sein du Ministère de l’Intérieur. 

 

Ainsi les préjudices sont répartis en 5 familles :  

 

  •  Préjudices temporaires de la victime directe
  •  Préjudices permanents de la victime directe
  •  Préjudices extrapatrimoniaux évolutifs
  •  Préjudices des victimes indirectes en cas de décès de la victime directe 
  •  Préjudices des victimes indirectes en cas de survie de la victime directe

 

Evaluer les préjudices : 

 

Les préjudices ayant un caractère temporaire ou permanent, l’indemnisation sera évaluée en fonction de la durée de l’impact du dommage sur la vie de la victime. 

Or pour la victime, non au fait de la procédure, il est compliqué d’avoir une vision globale et d’évaluer l’ensemble des préjudices qu’elle subit et qu’elle subira à cause du fait dommageable. 

Si par principe de justice, il est évident que tous les dommages subis devront être réparés, l’assuré est malheureusement souvent confronté à une sous-évaluation le lésant grièvement. 

Coût des soins médicaux, perte de gains professionnels, préjudice esthétique, souffrances endurées, préjudice d’agrément, etc. sont autant de conséquences néfastes sur la vie de la victime qui devront être réparées. 

Il est donc fondamental de procéder à une évaluation précise et tous les préjudices causés par l’accident et d’obtenir leur indemnisation.  

 

C’est pourquoi DEREA a choisi de mettre son expertise au profit des victimes.